SAS : le délai raisonnable de convocation d'une assemblée générale

Dans une SAS, en l’absence de dispositions légales ou statutaires imposant un délai de quinzaine, le juge doit apprécier si le délai en l’espèce est, au regard du contexte invoqué, raisonnable ou, au contraire, si le refus de faire droit à la demande de report est constitutif d’une faute. En dépit d’un contexte relationnel difficile entre les associés, un délai de 10 jours peut être considéré comme raisonnable, et insusceptible de justifier le report de l’assemblée.

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